TEASER DU CODEX MÉGALITHIQUES DU PLATEAU DE CAURIA

Affiche

Le sud de la Corse abrite des vestiges d’un temps dont nous avons tout oublié. Aucun document ne nous ait parvenu de cette époque ou les premiers peuples de Corse érigèrent plusieurs centaines de mégalithes dans le sud de la Corse. Nous ne savons pas comment interpréter ces monuments. Certains y voient des monuments aux propriétés mystiques, énergétiques, médicales…ou plus simplement des vestiges religieux ou funéraires. Mais en réalité nous n’avons pas les outils pour prouver toutes ces hypothèses qui ont le mérite d’exister.

Toutefois, un regard n’a jamais été posé sur ces monuments, en les étudiants sous l’angle de la géométrie qui est une branche d’un langage universel que nous appelons les mathématiques, nous allons découvrir ce que ces pierres ont à nous dire.

Lors de mon étude en m’appuyant sur les travaux des premiers archéologues de ces monuments, Prosper Mérimée et Roger Grosjean, mais aussi des outils modernes que sont Géo-portails, Google Earth, un télémètre laser, une application théodolite, j’ai pu découvrir un langage simple, claire et révélant des connaissances jusqu’alors improbables. Je ne suis qu’un modeste tireur de rideau qui partage avec vous ce patrimoine de l’humanité que nous ont laissé nos ancêtres, dans l’espoir, que nous daignons les comprendre un jour.

Résumé :

  • Les principes géométriques des bâtisseurs mégalithiques du sud de la Corse utilisaient la même science que les bâtisseurs mégalithiques de Carnac en Bretagne.
  • Ces bâtisseurs avaient compris le triangle de Pythagore plusieurs millénaires avec le célèbre mathématicien Grec.
  • Les monuments sont disposés en s’appuyant sur les points cardinaux et à partir de forme géométrique simple (carré, triangle rectangle), mais orienté avec une précision remarquable, pour ne pas dire exceptionnelle.
  • Les bâtisseurs étaient capables de repérer les axes cardinaux avec une précisons parfaites, dans un environnement qui n’y ait pas favorable (non plat et altitude)
  • Ces bâtisseurs étaient capable d’organiser géométriquement leurs sites mégalithiques sur de grandes distances, ce qui nécessite des capacités de cartographie, de topographie que nous avons largement sous estimés.
  • Mais le plus incroyable, c’est que ces bâtisseurs, utilisaient l’unité métrique pour aligner et disposer ces monuments. Nous parlons de monuments dont les archéologues estiment que les premiers travaux ont démarrés il y plus de 7000 ans !

Je vous présenterais dans ce documentaire les preuves factuelles, vérifiables par tous de cette logique géométrique qui révèle ces connaissances invraisemblable et pourtant bien réelles. Le hasard n’a pas sa place dans ce dessin géométrique.

Au cours de mon enquête, j’ai pu comprendre aussi que ces peuples disposaient leurs monuments aussi en fonction de lieux naturels d’une grande beauté, qu’ils devaient considérés comme étant des lieux sacrés. En effet, le plateau de Cauria est en lien géométrique avec deux sites néolithiques majeurs que sont la colline de Cucuruzzu, les aiguilles de Bavella et l’ancienne cité préhistorique d’Aléria. On pourrait y intégrer le célèbre Rocher de Rocapina que certain appel le sphinx, mais je ne le ferais pas dans ce documentaire.

Sortie le 12 juin.

Je serais en web conférence avec Nora sur NuréaTV le jeudi 16 juin à 20 h pour développer un peu plus ce documentaire et vous montrer des détails que je n’ai pas intégrer dans le film.

 

🤞 Ne manquez pas les prochains articles!

Nous ne spammons pas !

4 Commentaires

  1. Bonjour

    Le terme codex m a interpellé . Quelle définition peut on en donner dans le cadre de cette enquête ?
    La définition donnée dans Larousse Wikipedia …. , un cahier de feuille cousus, un manuscrit , ou encore un recueil de lois

    Fait on référence en utilisant le terme codex à un langage codé au travers de la géométrie et des mathématiques ?

    Les alignements , les orientations précises , les distances comparables de ces structures mégalithiques sont en effet intrigantes au regard de vos investigations , que je trouve très intéressantes d’ailleurs 😉 . Faut il y voir réellement un langage et si oui Quels en serait les enseignements à tirer ou peut on y voir plutôt une disposition harmonieuse et organisée De structures comme pour marquer un territoire, s’orienter, calculer des distances , ou d’autres fonctions lie au spirituel ou au culturel.

    Merci pour votre réponse

    • Codex mégalithique… oui c’est bien ce que je voulais suggérer, une sorte de livre de pierre…

      Je fais référence à un langage universel, qui peut sembler codé pour le non initié à cette lecture. On a longtemps émis des hypothèses quant à la nature de ces vestiges très nombreux dans le monde, nous les avons considérés comme les relique de culte religieux très anciens, comme des monuments ostentatoires de chef locaux… mais c’est parce que nous avons tenter de les comprendre à travers le regard de notre société actuel.
      Ces monuments sont les éléments d’une géométrie planifiée, qui révèlent des nombres, des proportions, des informations, mais aussi le mode de pensée de nos ancêtres dont nos livres d’histoire ont fait l’impasse.

  2. Merci Quentin.

    Si je comprends bien , ces structures seraient comme un témoignage universel pour signifier, et ce durablement ,- car c’est encore la de nos jours- qu ils maîtrisaient certaines connaissances et que cela devait avoir une grande importance dans leur mode de pensée, de fonctionnement .

    Les rapprochements etablis avec le nombre d or, pi, phi…. qui sont qualifiées de constantes universelles ( Comme dit Jacques grimault), ne sont peut être pas le fruit du hasard au vu des multiples observations géométriques, mathématiques que tu déclines dans tes enquêtes sur les mégalithiques , leur disposition, orientation et organisation…

    Ce qui amène d autres interrogations sur des usages ou applications concrètes qu ils pouvaient avoir de ces connaissances et s ils en avaient bien conscience à leur époque … Un mode de pensée et de connexion en lien avec leur environnement , ça me paraît indeniable en tout cas et c est ce que nous avons perdu je pense avec nos sociétés modernes .

    Merci pour le partage de tes investigations , c est très intéressant . Bonne continuation . Etienne

    • Bonjour.
      Est ce que le hasard peut expliquer qu’on retrouve des constantes pi et phi ? Parfois, cela est possible, mais très rarement… Si une longueur mesure par exemple 100 mètres avec 10 cm d’erreur… on peut dire que cela est un coup de chance… mais si cette longueur est orienté par rapport aux axes cardinaux d’un angle bien précis en relation avec des constantes et lois universelles, alors le hasard devient infinitésimale, c’est ce que je vais montrer dans ce documentaire.
      Au cours de mes recherches, je suis parfois tombé sur des coups de hasard, que j’ai pu identifier parce que les relevés étaient d’une précision modeste, et qu’en approfondissant, j’ai constaté que le monument avaient été déplacé par exemple. Mais il y a des observations qui se recoupent et se renforcent avec une telles précisions qu’il ne peut pas s’agit du hasard.
      Le sens de tout cela est encore flou, même si je commence à y voir un peu plus claire…. Mais il y a encore du boulot avant de proposer une synthèse de la signification de tout cela. Je dois en parler avec d’autres chercheurs en pointes dans différents domaines.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.