Préambule :
Cet article n’est pas très pertinent. Il correspond à mes débuts dans ce domaine et ne mérite pas que vous y portiez une attention. Les faits sont mathématiquement exacts, mais il manque des principes directeurs pour savoir ce que l’on cherche. Bien que certains éléments soient probablement exact et révélateurs d’une ancienne science d’occupation de l’espace par les premiers savants astronomes et cartographes, je ne considère plus cet article comme étant pertinent. Même si des tests statistique suggère bien l’existence d’une division en 364 méridiens dans la répartition des cathédrales par exemple.
Si vous n’avez pas le temps de passer 2 heures à regarder la web conférence (qui à disparue du web par ailleurs), je vous propose de retrouver ici les éléments clefs de cette soirée, les découvertes, constats, révélations… appelez les comme vous l’entendez !
En introduction, si vous désirez approfondir votre connaissance de l’architecture sacré des peuples mégalithiques, je vous recommande deux livres incontournables : Principe de la première architecture monumentale de Howard Crowhurst et Les lignes d’or. de Sylvain Tristan qui explique la division de la terre en 366° par les peuples mégalithiques.
La clefs est le méridien sacré d’Alésia.
Cette ligne de 757 km qui part d’Alos en Belgique, et se termine à Alès dans le sud de la France est coupé par des villes importantes : Reims, Troyes, Geugnon, Montbrison. C’est en regardant la distance et les proportions entre les cathédrales de ces villes que ce révèle la compréhension de ce langage géométrique incroyable.
Comment interpréter une ligne avec des encoches symbolisées ici par les cathédrales de ces villes ? Tout simplement en mesurant les distances et les rapports entre ces distances. Et si nous ne parvenons pas à comprendre, nous pouvons utiliser une clef qui consiste à diviser une distance par un nombre universel, et, il y en a deux qui sont de très bons candidats, ce sont les nombres PI (3,1416) et PHIE (1,618).
La distance nord sud entre Alost et Reims (Basilique St Rémi) est de 188,495 km.
Première étape, essayons de voir si cette valeur en km pourrait être le cercle de quelque chose d’important, et donc on va y intégrer le nombre PI :
188,4955 / 3,1416 = 60 km très exactement. C’est curieux, cette ligne est elle codée en base 60, correspondant à la division du temps et du cercle ? Essayons avec 360 degrés d’un cercle ou 3600 secondes.
188,4955 / 360 = 0,5236 km. Diantre, cette valeur, c’est 1000 coudées Égyptienne. Dont je rappel, qu’il existe une relation entre le mètre, PI, la coudée et la base 60, puisqu’un cercle de 1 mètre de diamètre aura un périmètre de 3,1416 mètres, et dont la sixième partie, est la coudée de 0,5236 cm.
Il reste à voir si le nombre d’or peut faire partie de cette logique des savants d’une époque dont nous avons tout oublié. Et en effet :
188,4955 / 1,618 = 116,4991. Cette valeur est le diamètre d’un cercle qui vaut, 116,4991 x 3,1416 = 366, comme les 366 degrés mégalithiques qu’utilisaient nos ancêtres et dont le méridien d’Alésia fait partie comme par hasard.
Voici donc en quelques opérations simples, reposant sur des constantes de l’univers, une preuve de l’existence d’un langage universel qui révèle : l’usage de l’unité métrique, la coudée, la base 60 de la division du temps et du cercle, mais aussi l’usage de la géométrie sacrée à 366°. Une preuve évidente et objective de plus de l’existence d’une connaissance insoupçonnée à une époque très reculée.
Regardons les distances entre Reims et Troyes, mais aussi celle de Gueugnon jusqu’à la colline de Verre d’Alésia.
Ces deux distances sont de 104,875 km et 104,91 km. Un écart de 35 mètres qui est absorbé sans problème par les dimensions des monuments et de la Montagne de Verre.
Regardons ce que représente cette distance par rapport à un étalon universel qui est la taille de la terre à l’équateur.
40 075,017 / 104,91 = 382. Ce qui veut dire que cette distance est la 382ème partie de l’équateur de la terre. Et alors… et bien cela veut dire que le nombre d’or au carré est intégré dans ce rapport, car l’inverse de 3,82 c’est le nombre d’or au carré.
104,91 / 40 075,017 = 0,002618 ± 0,007%
Un tel concours de circonstance est très surprenant et ne peut pas être le fait du hasard, car ces deux distances identiques sur le même méridien évoquent la même chose en relation avec les dimensions de la terre. Le hasard est peu probable ici encore.
La distance entre Troyes et Alésia : 84,270 km
Depuis la colline de Verre d’Alésia, nous savons que plusieurs lignes en miles visent des points importants comme Stonehenge dont la distance est de 366 miles. Le mile étant l’unité de mesure anglaise, et la valeur de 366 évoquant directement le lien entre les mégalithes et la géométrie secrète à 366° de ces bâtisseurs de mégalithes.
La distance 84,270 km en partant de la colline d’Alésia jusqu’à la cathédrales de Troyes convertie en mile anglais nous donne :
84,270 / 1,609344 = 52,36 miles ± 0,03%, ah ah ah ! Pardi… une référence, encore une fois à cette valeur universelle qui est la coudée Égyptienne des bâtisseurs de la grande pyramide.
GRRRR et alors çà veut dire quoi 52,36 ? C’est un nombre, qui comme PI est une constante mathématique de l’univers. Si l’on plonge une sphère dans un cube dont le coté est égal au diamètre de la sphère, alors la sphère occupera 52,36 % du volume du cube. C’est de la science, tout simplement.
Pour rebondir plus loin, quel est le rapport entre un cercle inscrit dans un carré et notre géométrie mégalithique ? Le périmètre du carré est 1,2732 fois plus grand que le périmètre du cercle. Et comme nos anciens aimaient les nombres, ils avaient aussi compris qu’en fait, le périmètre d’un carré de coté 1 était : 1 + 1/3,66 (1 + 0,2732) fois plus grand qu’un cercle de diamètre 1. (1 + 0,2732). Bref, ce n’est du tout par hasard que l’on retrouve la coudée, le nombre PI, le nombre 366 dans cette géométrie et sur ce méridien sacré. C’est de la science mes amis…. !!! Et remarquons que cela fonctionne aussi avec le rapport de surface entre le cercle et le carré. L’image ci dessous en donne une explication.
Bref, entre Troyes et la colline de Verre d’Alésia, les bâtisseurs et concepteurs de cette portion de méridien codé, nous montrent qu’ils connaissaient le miles anglais, le mètre, et la coudée… c’est dingue ! Cela peut déstabiliser, je vous l’accorde, c’est dure à admettre si vous n’êtes pas préparé à recevoir ce genre d’information… mais ne vous tracassez pas, si cela vous remue, votre ego s’en remettra !
Et ce n’est pas terminé : Troyes Alésia / Alost Reims
En mettant en relation ces différentes distances nous pouvons découvrir d’autres éléments de la science de ces anciennes cultures. Par exemple, la distance entre Alost et Reims est de 2,236 fois plus grande que la distance entre Troyes et Alésia.
188,495 / 84,270 = 2,236 ± 0,01%
J’ai le sentiment que ce nombre est probablement le plus important parmi les nombres sacré. En effet il est le nombre d’or (1,618) plus son inverse (0,618) (1,618 + 0,618 = 2,236). Ce nombre a probablement pour symbolique la dualité fondamentale de l’univers : ying yang, jour nuit, masculin féminin, chaud froid, vie mort, terre lune, eau air, intérieur extérieur, haut bas, espace temps….
Je crois que c’est pour ça que ce nombre 2,236 est aussi souvent représenté dans la géométrie mégalithique et les monuments antique. Tiens je rappel au passage que la distance entre Stonehenge et la grande pyramide de Khéops est de 2236 miles… un tel coup de chance est encore difficilement envisageable, à moins de souffrir d’un égo surdimensionné et d’une “septicémie chronique”.
D’autant plus que ce nombre, on le retrouve encore entre la cathédrale de Troyes et celle de Bourges, dont l’angle par rapport au nord est de 223,6 degrés. Mince, cette fois ci c’est en degrés sur la base de 360° que cela s’exprime ! Histoire de bien nous montrer que ces bâtisseurs d’avant divisaient aussi le cercle en 360°. Et comme ces derniers redoutaient le scepticisme chronique de nos esprits modernes, ils ont pris soin de positionner Bourges à la distance de 185,2 km de Troyes. C’est à dire 100 miles nautiques, ou 1000 stades Romain, comme par hasard. Le mile nautique découle directement des dimensions de la terre et donc de sa division en 360. (40 007,864 / 360° / 60′ = 1,8522 km). Un Mile Nautique c’est la soixantième partie d’un degrés de méridien. Bref, il faut là encore se rendre à l’évidence, nos ancêtres utilisaient les mêmes systèmes métrologiques et angulaires que nous, pauvre moderne dont l’arrogance ferait sourire nos ancêtres.
Allez pour le plaisir… je vous montre l’orientation de la cathédrale de Chartres, autre monument majeur de ce plan mégalithique invraisemblable. Cette cathédrale est orientée de 223,6 degrés par rapport au nord. Avant, ce trouvait un Dolmen à cet endroit là, probablement avec des menhirs qui permettaient d’indiquer et de conserver l’angle exacte de l’orientation sacrée de ce lieux. Car nous savons que les bâtisseurs de l’époque médiévale n’avaient pas la capacité de toute ces prouesses métrologiques et angulaires. Il leur fallait s’appuyer sur des éléments d’architecture déjà en place, et les mégalithes sont les candidats idéaux quant on connait la précision de leur disposition et orientation.
Une erreur c’est peut être glissée ici :
En présentant hier soir mon Powerpoint, j’ai présenté un triangle isocèle entre Bourges, Gueugnon et Alésia. Ce triangle est une réalité, ces dimensions sont justes, elles sont de 137,5 km ± 0,001 % pour les deux cotés identiques et de 104,91 pour le coté base avec un angle de 45°. Attention, car nous parlons de mesures sphériques et réelles dont les angles et dimensions ne fonctionnent plus en géométrie plane, du moins en apparence. Car en réalité, les bâtisseurs étaient capable de tenir compte de la forme de la terre et d’en profiter pour nous donner ainsi plusieurs façon de comprendre leur travail.
Là ou j’ai fait une erreur, c’est je pense en vous donnant la hauteur de ce triangle qui est de 127,13 km. Cette valeur est juste, mais j’ai proposé que cela pourrait être la √16 180, soit la racine carré de 10 000 φ. La précision était comprise entre 0,05% et 0,11%. A mon sens, cette précision n’est pas suffisante pour exprimé le nombre d’or avec certitude. En effet, 127,13² = 16162, soit 0,11% d’erreur, ou alors en faisait √16 180 = 127,20, nous avons 0,05 % d’erreur. Non, cela ne doit pas être la bonne proposition car les bâtisseurs sont très précis, je ne pense pas que la marge d’erreur soit supérieure à 0,05 quand ils désirent évoquer une valeur aussi fondamentale que le nombre d’or en une seule opération.
Par contre, cette distance de 127,13 km, qui est la hauteur de mon triangle isocèle, elle est exactement la centième partie du diamètre polaire de la terre qui mesure 12 713 km. Le diamètre polaire qui est la hauteur de la terre. Cela me semble bien plus logique. D’autant plus que les distances et la géométrie du méridien d’Alésia ne cessent d’entrer en relation avec la taille de la terre.
Au passage, cette relation entre 127,13 et son carré 16 162 m’a donné un éclairage surprenant sur une autre mesure fondamentale concernant une distance qui à fait couler beaucoup d’encre. J’en ferais surement un article car je pense avoir trouvé une clef de compréhension très importante qui dépasse ce que je pouvais imaginer jusque là.
Bourges Kergadiou : 299,793 minutes d’arc, hasard ou pas ?
En montrant la distance de 556,213 km entre le cœur de l’église de Bourges et le menhir de Kergadiou, vers lequel la cathédrale de Bourges est orientée, j’ai constaté que nous avions la 72ème partie de notre équateur terrestre, ou 300 milles nautiques. Mais en convertissant les 17987,58 secondes d’arc en minutes d’arc que me donnait Google Earth, j’obtenais la valeur de 299,793 minutes d’arc. Un nombre ressemblant de très près à la vitesse de la lumière exprimée en mètre par seconde. Cet exemple ne peut pas à lui seul constituer une preuve d’une connaissance de la vitesse de la lumière. Mais dans le cas ou ce genre de faits devaient se reproduire plusieurs fois sur des monuments mégalithiques majeurs, alors nous pourrions envisager très sérieusement cette hypothèse, car nous avons déjà une multitude de preuve que l’unité métrique et la division du cercle en 360° étaient des pratiques de nos ancêtres. Et de fait, rien ne s’oppose à ce qu’ils expriment la vitesse de la lumière dans les mêmes unités. Nous avons à l’heure actuelle quelques indices étonnant allant dans le sens d’une expression de la vitesse de la lumière. La latitude de la grande pyramide de Gizeh 29,972458° qui est très proche du centre d’un monuments multi millénaires. L’écart de longitudes entre Gizeh et Teotihuacán qui est de 129,9792458° entre deux sites de pyramides majeures de notre planète. Pour valider une hypothèse, il faut chercher d’autres indices de mêmes cohérences.
J’adopte donc un raisonnement scientifiques en n’omettant pas ces faits afin que nous les ayons juste en mémoire afin de faire le lien, si dans l’avenir nous étions amenés à trouver d’autres indices du même ordre. Un vrai chercheur n’écarte pas les faits bizarres qu’il observe, même s’il ne peut les expliquer, on ne peut omettre de les présenter.
Le parallèle d’Alésia, à quoi est il connecté ?
En partant de la Colline de Verre d’Alésia, si nous nous rendons plein Ouest pendant 523,6 km (1000 kilos coudées Égyptienne), nous interceptons alors à la même latitude un tumulus mégalithique qui est celui de Tumiac (aussi appelé la Butte de César). Là encore, cette distance ne peut en aucun cas être un hasard, car sur cette ligne se trouve le complexe du château de Chambord qui est symboliquement connecté aux principes mégalithiques, mais aussi les alignements du Piliers qui sont composés de 85 menhirs de quartz. (82 km avant le tumulus de Tumiac)
Le tumulus de Tumiac se trouve presque sur une ligne d’or. Cette ligne d’or se trouve tout près en plein milieu du golf du Morbihan qui est le cœur du mégalithisme de Bretagne. L’écart infime est certainement volontaire, car les bâtisseurs ont probablement voulu placer ce tumulus à cette distance exacte de la colline de Verre. Les alignements du Piliers en revanche sont exactement sur une ligne d’or mégalithique, c’est à dire le 37ème méridien sur les 366 que compte la géométrie mégalithique.
Mais le plus incroyable, c’est que cette latitude à quelque chose de merveilleux, car à cette latitude là, et seulement à celle là, lors des solstices d’été et d’hiver, le soleil se lève et se couche en formant avec l’horizon un angle de 36,87° qui est l’angle d’un triangle 3 4 5. Le fameux triangle rectangle de Pythagore ! Oui, à cette latitude là, sur cette ligne là, 2 fois par ans le soleil nous dessine une ombre qui forme avec les axes cardinaux un triangle 3 4 5.
Pour être certain qu’on ne passe pas à coté, nos ancêtres ont même pris la peine de construire un rectangle de pierre sur ce principe à Crucuno dans le golf du Morbihan. Bref, là, si les meilleurs scientifiques de notre monde moderne ne parviennent pas à comprendre, nous sommes cuit ! Tout est là, il n’y a plus qu’a mesurer, c’est aussi simple que de planter des choux !
Conclusion :
Bref, en m’appuyant sur les travaux de mes prédécesseurs dans ce domaine (Howard Crowhurst, Sylvain Tristan et Didier Coilhac) je constate qu’en des temps reculés des peuples utilisaient le mètre, le mile anglais, le mile nautique, la coudée, la division du cercle en 360°, la géolocalisation en degrés, minutes, secondes… alors qu’on nous explique que tout cela est arbitraire, et aurait été définit à la fin du 18ème siècle. La place au doute devient si étroite qu’elle risque de nous étouffer.
La question de savoir comment nos ancêtres ont fait tous cela n’a pas de réponse, mais pour avoir vérifié une partie des mesures des scientifiques Méchain et Delambre, je peux vous dire que les scientifiques de la fin du 18ème siècles n’étaient pas capable de cette précision avec leurs cercles répétiteurs de Borda, leurs barres de platines et leurs savants calculs. Je ne sais pas comment nos ancêtres faisaient pour être aussi précis, mais à défaut de savoir, nous pouvons tenter de comprendre pourquoi ils ont voulus être aussi précis.
Mon travail suggère aussi, que des connaissances importantes de ces lieux sacrés ont continué d’être enseignées de manière à ce que plus tard des bâtisseurs d’un autre temps continuent de construire à ces mêmes endroits, en respectant les orientations d’origine. Je sais, c’est dingue…. mais c’est comme ça. Tout ceci semble avoir construit dans l’espoir que nous ne perdions pas de vue des connaissances primordiales, ou alors pour que nous puissions les redécouvrir.
REVOIR LA WEB CONFERENCE CI DESSOUS :
Désolé si je suis passé un peu vite, mais il m’aurait fallu presque 3 heures pour bien développer tout cela…
ANNEXE :
- Dans ce que je vais viens de vous montrer, la précision des distances et des angles est très précise. La marge d’erreur est comprise entre 0,05% et 0,001 %. Soit une marge d’erreur comprise entre 5 cm et 1 mm sur 100 mètres.
- 0,2 %, est dans cette étude la marge d’erreur maximale que je considère comme étant acceptable pour que la probabilité de la mesure théorique soit significative. Dans certain cas, 0,2 % est trop imprécis pour être juste, surtout si nous pouvons définir très clairement les points de départ et d’arrivée d’une mesure. Mais pour des monuments importants de forme complexe, on peut admettre une marge d’erreur équivalente à 20 cm sur 100 mètres. La plupart des mesures sont précises à moins de 0,05 %, soit moins de 5 cm d’erreur sur 100 mètres.
Concernant le méridien d’Alésia :
Les écarts de position des monuments majeurs par rapport au méridien d’Alésia sont de ± 1,5 minutes d’arc. L’ensemble des sites sont compris dans une bande de 3’ minutes d’arc.
Au regard de la précision dont nous constatons que les bâtisseurs étaient capables, pourquoi ces derniers auraient fait une telle erreur ?
En réalité, ce n’est pas une erreur. Ce couloir de 3 minutes d’arc permet d’implanter correctement certaines cathédrales, châteaux et sites mégalithiques, en respectant des données angulaires et distances très importantes. Car les distances sont très importantes et très précises. Ce que nous pensons être une erreur permet par exemple d’avoir exactement l’angle d’un bi carré entre Chartres et Alésia, ou d’avoir exactement 185,2 km entre Bourges et Troyes….. etc….
Compte tenu du grand nombre d’éléments que les bâtisseurs ont voulus implanter en partant de ce méridien sacré, ils leur étaient nécessaire de créer un couloir leur permettant d’ajuster la position de certains monuments les uns par rapport aux autres.
Cette espace large qui constitue le méridien sacré d’Alésia permet d’enraciner tout autour de lui avec une très grande précision plusieurs autres sites sacrés, qui eux, sont implantés avec une très grande précision.
Ce principe que nous prenons pour une marge d’erreur est en réalité une marge de flottement qui permet d’augmenter les possibilités de communication géométriques et mathématiques. C’est une clef du langage des anciens que j’observe de plus en plus et que je commence à comprendre…. Ce que nous prenons pour des imprécisions à parfois une raison d’être qu’il nous faut comprendre.
La fausse Alésia : Alise St Reine :
C’est Napoléon III qui par décret déclara que le site d’Alise St Reine était le siège de la bataille d’Alésia. Mais de très nombreux auteurs, historiens et chercheurs dans différents domaines ne partagent pas du tout cette proposition. Un livre à été publié en 2014 : Alésia, la supercherie dévoilée, par Danielle Porte, historienne spécialisée de l’antiquité romaine. Ce livre montre les très nombreuses failles dans le raisonnement et les conclusion qui ont été faite des fouilles pour donner à Alise St Reine le titre de d’Alésia. A commencer par le nom, en effet, dans les écrit contemporains, de César entre autre, les auteurs écrivent “Alésia” et nom “Alisija”. En effet, sur le site d’Alise St Reine, a été retrouvé une plaque avec le nom d’Alisija, et non celui d’Alésia pourtant écrit par les auteurs contemporains des faits.
De nombreux auteurs voient Alésia dans le Jura, mais d’autres comme l’historien Bernard Fèvre et l’auteur Sylvain Tristan situe ce lieux sacrées près de Guillon. Ce dernier s’appuyant sur une science cartographique que nos ancêtres semblaient maitriser, montre que la Colline de Verre à coté de Guillon dans l’Yonne est un parfait candidat pour être l’Alésia sacrée des Celtes, puis des Gaulois. Cette colline et ses environs correspond très bien à la description de Jules Césars, et les fortifications que Vercingétorix aurait fait construire pour l’occasion sont encore visible (mur de 2 mètres de haut et de large). On retrouve aussi l’emplacement des 23 postes d’observation du siège de César. J’abonde vers cette hypothèse, car les faits cartographiques révèlent une science qui fait de cette colline le cœur d’un système mathématique et géométrique universel, conçue à une époque dont nous n’avons plus que la mesure pour tenter d’y voir claire. Cette colline est à minima un lieux sacré incontournable de l’époque Mégalithique, Celtique et Gauloise.
C’est depuis Napoléon III et au vu des résultats des fouilles de 1991 à 1997, dirigées par un dénommé Michel Reddé, que la localisation du siège est décrétée de façon ferme et définitive à Alise-Sainte-Reine sur le Mont Auxois en Côte d’Or, où depuis 140 ans,on recherche vainement les traces de la bataille de cavalerie qui l’a précédé, mais le plus amusant est à venir!
Michel Reddé fait la déclaration suivante le 11 mai 1996, aux journées archéologiques de Bourgogne Franche Comté, à la faculté des sciences de Dijon: ” La dernière campagne de fouilles actuellement en cours confirme la localisation de ce siège autour du Mont Auxois, bien que les structures découvertes ne correspondent pas aux descriptions de César, ce qui semblerait attester que César n’était pas très précis dans ses descriptions, raison pour laquelle, les archéologues disent que les fouilles archéologiques redressent les erreurs de descriptions de César.”
Et c’est de cette façon là que de “petits” archéologues réécrivent l’histoire en lui faisant dire ce qu’il ont envie qu’elle dise !
Source : sur http://www.gaulois-barnoud.com/pages/l-histoire/alesia-retrouve.html#xP6kXD1aAufxqbbz.99
(40 007,864 / 360° / 60′ = 1,8522 km).1.8522 kms ca a pas aussi a voir avec 1 minute d arc qui est exprimee aussi avec les kms(en tout cas ce chiffre est cense representer cela!) chargement…