LA METROLOGIE CACHEE DU PLATEAU DE GIZEH

Je vous propose de revoir ici l’émission que j’ai réalisé sur Nuréa TV, avec une seconde partie en BONUS, ainsi que quelques unes des diapositives de ma présentation.

PARTIE 1

PARTIE 2


Le pied Grec, de 30,87 cm ± 0,01 est une mesure qui vaut 1/100ème de seconde d’arc du méridien de la terre. Cette mesure est donc issue des dimensions de la terre.


 

La coudée de Nippur, et la toise mégalithique sont deux unités de mesures liées par un rapport de 1 à 4. Le pied de Nippur est quant à lui lié au yard mégalithique par un rapport de 1 à 3. Ces rapports simples permettent d’affirmer, comme l’écrit Rottlander que la coudée de Nippur est une mesure issue du yard mégalithique.


Le yard mégalithique est sans l’ombre d’un doute une mesure étalonnée sur le degrés de méridien à l’équateur. 100 000 yards mégalithique mesure 3/4 du degrés de méridien à l’équateur. Et 100 000 pieds de Nippur valent 1/4 de ce même degrés.


La grande pyramide, mesurée en coudée de Nippur révèlent deux nombres majeurs : PI et le nombre d’argent (1,414 ou racine de 2). Le rapport entre la coudée de Nippur et la coudée royale est un rapport de 100 à 101.

 


Le plateau de Gizeh est il conçu en utilisant aussi les unités de mesure que les Romains ont employées ensuite ? Cléopâtre à t’elle initié Jules César ??? !!!!


Les savants Français lors de l’expédition d’Égypte découvrir des unités de mesure que nous avons plus ou moins oubliée. L’une d’entre elle mérite pourtant toute notre attention.


Clou de la soirée, une mesure Arabe, que ces derniers ont comme les Romains et les Grecs, empruntés à la science Égyptienne. La coudée nilométrique, parfois appelée coudée noire, semble être la coudée qui permet de mesurer la pyramide de Khéphren. Sa valeur de 53,93 cm offre un rapport de 25 à 26 avec la coudée de Nippur.

 


Peut on par hasard avoir en Égypte deux coudées qui sont des fractions simples des nombres PI, PHI et retrouvé la présence des nombres PI, et PHI de manière aussi redondante sur ces pyramides.

 

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8 Commentaires

  1. Bonjour Quentin,

    Quand vous dites que les 1417,5 coudées mesurées par Pietri ne collent pas avec les 1414 qui devraient être la diagonale d’un carré de 1000 coudées, vous concluez “il doit y avoir une raison”.

    Mais en science, quand la mesure ne colle pas avec l’hypothèse de départ, on ne dit pas “il doit y avoir une raison qui explique l’écart”, on dit plutôt : l’hypothèse est donc invalide.

    Vous partez toujours du présupposé qu’il y aurait une volonté, et alors quand les mesures ne collent pas vous tentez d’y rajouter des raisons. Mais si au final c’était votre hypothèse qui ne tenait pas ?! Pourquoi donc elle tiendrait d’ailleurs ?

    Il est possible qu’on retrouve des données statistiques (comme le miles mégalitique qui semble une étude tout à fait pertinente), qui montre l’existence d’une certaine unité de mesure utilisée, ce qui peut sembler par ailleurs tout à fait normal, mais partir du principe qu’il y a quelque chose à trouver sur un site unique, ne permet justement pas la critique scientifique qui doit reposer sur la reproductibilité (et donc la statistique d’une hypothèse précise, sur un grand nombre de cas).

    Quelle est donc in-fine votre hypothèse qui, mise à l’épreuve de la statistique, pourrait être validée ou réfutée ?

    • John Legon pense que la mesure de 1417,5 coudées devrait être 1414 en théorie, mais il n’exclut pas un ajustement géométrique afin de concilier la géométrie d’ensemble. Mais cette raison géométrique n’est pas clairement identifiée…. Il faut demander à l’auteur ce qu’il en pense.
      Ce qui est démontré, c’est l’usage de module carré.
      On sait aussi que parfois, afin d’exprimer des nombres irrationnels, les arpenteurs utilisent des approximations, qui peuvent être l’origine de ce décalage dans la mesure. Par exemple la racine de deux peut être approché par 99/70.

      Su vous avez suivi l’émission jusqu’au bout, vous auriez du comprendre que la mesure mégalithique est une mesure étalonnée sur la terre, et que toutes les anciennes mesures connues avec certitudes en sont issues : Coudée de Nippur, Pied Grec, Pied Romain, Coudée Noire, Coudée Royale… ceci est un fait statistiquement valide, qui résiste sans difficulté à toute épreuve scientifique. Ces faits sont connues de certains métrologistes historiques, mais pas des historiens classiques qui semble ne pas daigner s’y intéresser.
      Bref, la science “dure”, bouleverse les théories de la science “molle”… puisque cette dernière considère impossible l’existence d’un tel niveau de connaissance et de science, en dépit de toute les preuves qui existent d’une métrologie solide.

  2. J’ai très bien compris le sujet et je parlais de votre a-priori dans l’approche. Quand vous dites :

    “John Legon pense que la mesure de 1417,5 coudées devrait être 1414 en théorie, mais il n’exclut pas un ajustement géométrique afin de concilier la géométrie d’ensemble. Mais cette raison géométrique n’est pas clairement identifiée….”

    Vous continuez à supposer que son hypothèse théorique ne se questionne pas, juste que “la raison géométrique n’est pas clairement identifiée” ce qui n’invalide pas l’hypothèse.

    Donc je réitère la question : qu’est-ce qui invaliderait votre hypothèse ?

    En science n’est acceptable que la théorie qui se soumet à l’épreuve de l’expérience (y compris stastistique), permettant donc de la garder si l’expérience colle, ou de la rejeter si cela ne colle pas.

    Donc quelle est votre hypothèse exactement, et qu’est-ce qui l’invaliderait ? Sans poser ces deux réponses vous ne dites rien d’audible.

  3. Un vrai plaisir de suivre votre émission.
    Toutes ces mesures en corrélation les unes aux autres donnent le vertige.

    Vous auriez pu ajouter qu’une sphère mise dans un cube de coté égal à son diamètre occupe 52,36 % de l’espace. C’est donc une constante.

    Je vais continuer a suivre votre site.

    Merci pour votre travail.

    • Tout à fait 52,36 est une constante géométrique.
      Mon prochain article réalisé avec un autre chercheur fera le lien astronomique pour compléter l’approche géodésique et géométrique.

    • “une sphère mise dans un cube de coté égal à son diamètre occupe 52,36 % de l’espace.” d’où la valeur de la coudée royale égale à pi/6. En effet,on a le volume d’une sphère de rayon r Vs=(4/3)*pi*r^3 rapporté à un cube de 2*r de coté de volume Vc=8*r^3 donne Vs/Vc=pi/6! Merci Quentin pour votre travail remarquable, bonne continuation.

  4. Bonjour
    Merci pour vos analyses qui donnent le vertige.
    Dans votre video vous faites remarquer la diversité des usités de mesures utilisées dans les pyramides, y compris dans un même couloir.
    Je me demande si toute pyramide pouvait être conçue à 100% par un seul architecte.
    Vu la durée et l’ampleur des travaux, sans doute qu’il y a pu en avoir plusieurs dans la durée, voire même en parallèle
    Dans ce cas on peut imaginer qu’ils n’utilisaient pas tous les mêmes unités.
    En France avant l’unification des unités on trouvait par exemple beaucoup de livres différentes. Pourquoi pas en Egypte ?

  5. Bonjour Quentin,

    Quand vous dites que les 1417,5 coudées mesurées par Pietri ne collent pas avec les 1414 qui devraient être la diagonale d’un carré de 1000 coudées, vous concluez « il doit y avoir une raison ».

    Mais en science, quand la mesure ne colle pas avec l’hypothèse de départ, on ne dit pas « il doit y avoir une raison qui explique l’écart », on dit plutôt : l’hypothèse est donc invalide.

    Vous partez toujours du présupposé qu’il y aurait une volonté, et alors quand les mesures ne collent pas vous tentez d’y rajouter des raisons. Mais si au final c’était votre hypothèse qui ne tenait pas ?! Pourquoi donc elle tiendrait d’ailleurs ?

    Il est possible qu’on retrouve des données statistiques (comme le miles mégalitique qui semble une étude tout à fait pertinente), qui montre l’existence d’une certaine unité de mesure utilisée, ce qui peut sembler par ailleurs tout à fait normal, mais partir du principe qu’il y a quelque chose à trouver sur un site unique, ne permet justement pas la critique scientifique qui doit reposer sur la reproductibilité (et donc la statistique d’une hypothèse précise, sur un grand nombre de cas).

    Quelle est donc in-fine votre hypothèse qui, mise à l’épreuve de la statistique, pourrait être validée ou réfutée ?

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