LE FILM TEOTIHUACÁN LA CITE DES SCIENCES DES BATISSEURS

Affiche

 

 

Ce documentaire vous est proposé par www.messagedelanuitdestemps.org/. Il a été réalisé par Quentin Leplat, avec pour réalisateur Clément Staron (Media fusion).

Vous pourrez retrouver des informations complémentaires sur le site dès le 22 mars en suivant ces deux articles.

https://messagedelanuitdestemps.org/index.php/2016/03/13/teotihuacan-cite-des-sciences-en-savoir-plus/

https://messagedelanuitdestemps.org/index.php/2016/03/16/autres-questions-autour-de-teotihuacan/

Images :

Narration :

  • Lucie Gathier

Musiques :


 

Lors d’un voyage au Mexique en septembre 2015, nous avons pu visiter la cité antique de Teotihuacán. Ce fut l’occasion d’approfondir nos recherches vues du ciel. Les écrits et consensus concernant cette ville extraordinaire ne nous disent pas grand chose en réalité, tout n’est qu’hypothèse en se basant sur un cadre prédéterminé de l’histoire de l’humanité.

Vous aller découvrir qu’il n’en est rien, que Teotihuacán est un site qui est construit avec un langage mathématique identique à celui qu’utilisait les bâtisseurs de mégalithes et les grandes pyramides de Gizeh en Égypte, mais aussi avec l’unité métrique.

Nous avons confié la réalisation d’un documentaire d’une trentaine de minute à MédiaFusion, sa sortie est prévu le 21 mars 2016 pour fêter l’Équinoxe de printemps. Le film sera libre d’accès sur cette page, puis sur Youtube dans les jours à venir.

 

Résumé et explication sur le documentaire :

Quelles sont les nouveautés que propose le film ?

L’idée est ici de proposer un autre regard, une autre façon de faire de la recherche sur les vestiges antiques. Les historiens lisent les écrits, les archéologues grattent le sol, analysent ce qu’il trouve, et interprètent tout cela à travers des cadres établis de l’histoire. Mais il y a une autre façon de faire. Nous proposons de regarder le site de Teotihuacán à travers le prisme de la géométrie. En effet, ce site est un complexe géométrique, construit avec une orientation, avec des monuments de forme géométrique bien particulière. Pourquoi ne pas tenter de découvrir les stratégies géométriques de ces bâtisseurs ? La géométrie, branche des mathématiques, sont les clefs d’un langage universel, capable de traverser le temps.

Avez vous étudié les proportions et dimensions des pyramides, un peu comme cela peut se faire avec les pyramides de Gizeh ?

Un petit peu, mais ce n’est pas l’essentiel de ce premier documentaire sur Teotihuacán. Nous avons étudié un peu la géométrie de la pyramide du soleil, mais les mesures officielles nous semblent peu précises car ces monuments n’ont pas été totalement restaurés, une petite partie de la pyramide de la lune par exemple est recouverte par la végétation. Nous nous sommes surtout intéressés à la disposition au sol des éléments. Mais il est vrai et cela n’est pas nouveau, que la pyramide du Soleil semble construite aux proportions du nombre PI, sa base vue de face mesure 220 m et sa hauteur de 70 mètres évoquent bien le rapport 22/7 qui est le plus proche et le plus simple pour approcher le nombre irrationnel PI. Toutefois, les auteurs qui évoquent cette particularité n’ont pas fait attention au fait que cela fonctionne en mètre !

Qu’avez vous découvert de fondamental ?

Que l’unité métrique a probablement été utilisée dans la conception de ce plan d’ensemble, et cela en relation avec les axes cardinaux, et des constantes mathématiques identiques à celles qui ont été découvertes en Égypte sur les pyramides de Gizeh. Ainsi, le nombre d’or, le nombre PI sont intégrés en unité métrique dans les dimensions et la disposition des éléments entre eux.

Il y a aussi plusieurs points communs entre ces pyramides et celle de Gizeh en Égypte qui devraient nous interpeller. La cité de Teotihuacán, est peut être une sorte de code géométrique qu’il faut lire avec des outils et méthodes qu’ils nous faut encore découvrir. Le travail d’études géométriques ne fait que très peu partie des habitudes des historiens et archéologues, ce n’est pas un reproche que nous leur faisons, mais nous suggérons une autre piste pour tenter de comprendre ces monuments.

Quelles méthodes avez vous utilisés ?

Il y a une méthodologie que j’ai découverte en lisant et en suivant les travaux de Howard Crowhurst.  Il l’a développée sur les sites mégalithiques. Cette dernière s’appuie sur les principes des premières architectures monumentales, antiques et sacrées. Son travail sur les mégalithes permet de donner des axes de recherches pertinents. On peut par exemple transposer des carrés sur la géométrie d’un site, et voir ce que cela donne. On doit aussi toujours essayer de voir quelle est l’orientation par rapport aux axes cardinaux, cela révèle parfois des stratégies étonnantes de la part des bâtisseurs. Nous n’allons pas détailler son travail ici, mais il est évident que son travail méthodique nous a inspiré. Nous vous invitons vraiment à découvrir ses livres, conférences, et vidéos…

Ensuite, il me semble qu’il existe des clefs mathématiques naturelles que nous n’avons pas l’habitude d’utiliser. Par exemple, si une distance entre deux éléments est de 1785,7 mètres. Cela peut ne rien évoquer du tout, mais on sait qu’il est possible de coder un nombre avec un autre nombre. Pour cela on utilise des clefs. Ici on pourrait prendre l’inverse de 1785,7 et on constate que cela renvoi au nombre 56.

1 / 1785,7= 0,00056

Ce même nombre (1785,7) divisé par 56 évoque son carré.

1785,7 / 56 = 31,8875. Or 1785,7² = 3 188 724

31,88750 évoque 3188724

Le nombre 56 est peut être une clef des connaissances anciennes. Par exemple : la hauteur de la grande pyramide de Khéops / 56 = 2,618 (nombre d’or au carré), puis la hauteur de cette pyramide en intégrant la partie souterraine de la chambre basse : 175,929 / 56 = 3,1416 (PI).

On peut aussi procéder plus simplement : φ² / 0,017857  = 146,608 = hauteur de Khéops.

Cela n’est pas scientifique, je vous l’accorde, c’est juste un exemple pour illustrer un raisonnement intuitif logique propre au raisonnement humain faisant abstraction des consensus, cadre de pensée…. De plus, le carré, la racine carré, l’inverse sont des clefs de notre environnement. La gravité entre deux astres n’est elle pas inversement proportionnelle au carré de la distance qui les séparent ? Juste en s’appuyant sur la gravité, on s’aperçoit que les notions d’inverse, de proportionnelle, de carré sont présent dans les lois de la nature. Ce mode de pensée que je vous propose dans cet exemple est aux antipodes de la pensée scientifique et des modes de recherches dans ce domaine. Mais il ne faut pas nier le fait que notre cerveau humain raisonne de cette manière là. Si on demande aux gens de coder un nombre avec un autre nombre, beaucoup utiliserons ce type de méthode. Cette façon de procéder n’est qu’une tentative de raisonner comme le faisaient les anciens scientifiques, avant l’avènement de la pensée statistique, matérialiste, rationnelle, cartésienne…qui s’est développée dès la fin du 18ème siècle. Il ne n’agit pas de renier l’outil scientifique, mais d’y adjoindre d’autres modes de pensées. Quand on parcours la littérature sur les sciences de la renaissance ont s’aperçoit que ce genre codage mathématique était très employés. On peut presque parler d’une science ésotérique. Newton par exemple à publié un très grand nombre de documents d’ordre ésotérique, il s’est passionné à un moment de sa vie pour les connaissances des anciennes civilisations, et notamment les Égyptiens. Que dire encore de Pythagore qui a passé une partie de sa vie en Égypte d’où il a probablement extrait son célèbre théorème. (Les Égyptiens connaissaient ce théorème bien avant les Grecs, et bien avant encore, les bâtisseurs de mégalithes connaissaient aussi ce théorème de géométrie).

Effectivement, nous ne sommes pas habitué à ce genre de langage ?

Oui, moi non plus au départ. Mais s’il y a une chose qu’il faut comprendre, c’est que la géométrie et les mathématiques sont le seul langage universel et intemporel. Les gens qui travaillent à l’enfouissement des déchets nucléaires par exemple savent que pour communiquer pendant des milliers d’années avec nos successeurs sur la terre, il leur faut trouver un langage universel, et les mathématiques et la géométrie font parties des options qu’ils envisagent.

Vous pensez qu’on peut établir un lien entre ces pyramides et celle de Gizeh à 12000 km en Égypte ?

Pourquoi s’interdire de chercher dans ce sens ? Nous ne devons pas raisonner avec un cadre de pensée qui nous impose de ne pas considérer cette hypothèse. Plusieurs éléments géométriques, des références à des nombres, les unités de mesure, la disposition des pyramides nous interpellent dans ce sens là. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas d’écrits sur des relations possibles entre ces peuples que cela est impossible. Nous n’avons pas non plus d’écrit qui nous disent que les bâtisseurs de mégalithes du nord de l’Écosse jusqu’à l’Ile de Malte ont sillonnés les mers pour y ériger dolmens, cromlechs, menhirs et tumulus. Et pourtant, il y en a de la distance entre tout ces lieux mégalithiques. On trouve aussi des dolmens et menhirs en Corée du Sud et en Colombie, mais là, nous ne nous autorisons pas à penser qu’il s’agisse de la même tradition, tout simplement parce que cela ne fait pas partie des consensus de l’histoire, mais un consensus, ce n’est pas une vérité pour autant.

Vous avez évoqué je crois la connaissance de la vitesse de la lumière dans votre documentaire !

En effet, c’est une hypothèse très audacieuse qui me séduit. Je dis bien hypothèse, car même si de nombreux indices vont dans ce sens, j’aimerais en trouver d’autres avant de dépasser ce stade. Cette idée à été proposée déjà à propos de la pyramide de Gizeh par plusieurs auteurs. Il y a deux arguments qui vont dans ce sens, et nous en proposons un troisième qui concerne le site de Teotihuacán et Gizeh. Nous avons la certitude que l’unité métrique est connue depuis très longtemps, qu’elle a traversée les millénaires dans le plus grand secret. La division du temps en 24 heures, 60 minutes et 60 secondes n’est pas non plus quelque chose de nouveau, on sait qu’il y a au moins 5000 ans les Sumériens utilisaient la base 60 et ce mode de division du temps. Et à mon avis, l’origine du mètre et de la seconde est bien plus ancienne encore. L’étude des mégalithes révèle cette connaissance. Ce sera l’objet du prochain documentaire entre autres sur les mégalithes de Cauria en Corse du Sud.

Un petit résumé des découvertes pour vous donner envie !

Les distances entres les différents édifice en mètre nous donne des dimensions comme celle ci : 618, 1618, 2236, 314. Mais il y a aussi un élément qui dépasse le cadre du Mexique, car cette cité est symboliquement en lien avec les grandes pyramides d’Égypte à travers la disposition au sol, la distance sépare ces deux sites extraordinaires.

Y aura t’il une suite ?

Certainement. D’une part pour améliorer ce travail de recherche, car je pense qu’il y a peut être des imperfections et des erreurs dans notre travail, mais que nous aurons aussi raté des éléments dans ce premier essais. Nous n’avons pas la prétention de vous livrer une vérité, de vous proposer LA révélation, mais simplement de suggérer une autre façon de regarder les choses. Il y a des éléments que nous avons découvert après avoir écrit le scénario et qui ne sont pas dans le film… il faudra bien qu’on en parle à un moment ou l’autre.

Scénario : Quentin Leplat

Réalisateur : Clément Staron, Médiafusion

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6 Commentaires

  1. Félicitations !!!!

    Superbe documentaire, c’est formidable, votre enthousiasme et votre sérénité porte ce message au niveau ou il doit être présenté : sans polémique, sans quiproquo, juste la magnificence du factuel.

    On adore !!

  2. PI = 22/7….. OK…. alors divisez 22 par 7 et vous obtiendrez : 3,142857142857142857…… 142857 se répétant à l’infini….

  3. Impressionnant ! Pour moi cela fait beaucoup trop de coïncidences. Se peut-il qu’une civilisation avancée ait pu dispenser son savoir géométrique et mathématiques au quatre coins du monde ?

  4. *** Félicitations pour cette remarquable vidéo, bien expliquée !
    * Il est évident que l’ unité de mesure , le mètre , était connue, il y a plus de 5 000 ans, en Egypte !
    * Pour le nombre 56, mon ami israélien Robert GOLD, a utilisé ce nombre pour découvrir la ”vitesse de la lumière”, et ceci, grâce à des calculs avec la numérotation, dans l’ étoile de David !
    * Il y a un lieu réel entre les pyramides de l’ Egypte, et celles du Mexique !
    *** Je souhaiterai vous OFFRIR mon ouvrage “Le SAVOIR de la Tour de Babel” (Grande pyramide d’ Egypte), ainsi nommée par le “Peuple” venu de Babylone, celui qui a réalisé les plans, et fait creuser ses fondations; terminées en 2718 avant J.-C; (soit deux siècles avant le règne de Khéops !!!).
    Merci de me remettre vos coordonnées.
    Michel

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