KAHUN, LA RÈGLE ASTRONOMIQUE D’EGYPTE – Quentin Leplat
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Dans ce petit livre de 60 pages, Quentin partage ses découvertes sur une règle graduée, découverte en Égypte. Elle fut rangée dans un musée sans être étudiée. Pourtant, cette règle révèle des propriétés métrologiques inattendues. Elle indique des proportions révélant l’emploi du nombre d’or. Elle confirme les dimensions de la coudée royale Égyptienne. Mais le plus incroyable, c’est qu’elle indique les périodes synodiques et sidérales des planètes de notre système solaire. Et pour couronner le tout, ce sont les notes de musique de notre gamme musicale qui émergent des graduations de cette règle de Kahun.
Description
Dans les années 1880 1890, l’Égyptologue William Flinders Pétrie fait des fouilles près de El Lahoun, autour de la pyramide de Hawara. Il y découvre une règle en bois étrangement graduée. Elle présente 7 lignes divisant la règle en 8 parties irrégulières. Il appellera celle-ci, « la règle de Kahun ». Elle daterait de la XIIème dynasties, vers -1900.
Pétrie est connu pour la rigueur des mesures qu’il effectuait sur les monuments et les objets qu’il découvrait. Ce dernier donne les dimensions en « pouce anglais au centième près » de chacun de ces intervalles. Vous pouvez les lire dans l’extrait de ces publications ci-dessous.
Informations complémentaires
Poids | 200 g |
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Lire un extrait
La conclusion :
La règle de Kahun est un objet qui n’a pas attiré l’attention des archéologues et historiens. Ces intervalles irréguliers, sa modestie artistique ont rendu l’objet banal aux yeux des chercheurs de trésors que sont les archéologues et historiens modernes. Mais il est évident que le trésor de la pyramide de Khéops n’est pas ce qu’elle contient. C’est le contenant qui est le trésor. Les propriétés géométriques et métrologiques de la pyramide sont un trésor de connaissance. Il en est de même avec la règle de Kahun, le trésor repose sur les intervalles irréguliers d’une simple canne de bois. « L’habit de fait pas le moine ». Derrière la modestie se cache souvent les plus grands secrets.
La règle de Kahun nous démontre qu’il a bel et bien existé une forme de canne de bâtisseur reposant sur une progression dont le nombre d’or est la clef. Mais au delà, cette règle nous montre que son concepteur connaissait plusieurs unités de mesure. (Le yard mégalithique, le mètre, la coudée royale). Les nombres, mesurés en mètre, qui sont intégrés à cette règle révèlent des relations astronomiques entre les périodes synodiques et sidérales des planètes. La séquence 584 et 780 de rapport 3/4 associé aux périodes synodiques de Vénus et Mars est fascinante de simplicité. Ces deux planètes encadrent la terre. Et leurs périodes de rotation synodique nous délivrent un rapport 3/4 presque parfait. Les anciens semblent avoir observé, étudié, traqué, les signes d’une mécanique céleste dont les principes régissent la vie et lui donne sens. De ces simples rapports entre les périodes synodiques et sidérales des planètes, nous passons à la création de la gamme musicale. L’harmonie entre les notes de musique résonne à notre esthétique en s’appuyant sur des rapports simples en nombre entier. Ces mêmes rapports semblent se manifester dans le ciel. En musique, la base, c’est le rapport de quinte entre les 5 premières notes de musique. Ce rapport est 3/2. Or c’est ce même rapport qui relie la distance des planètes jusqu’au soleil à leur période de révolution.
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