Voici un bonus concernant le film ADN « Arpenteurs du Néolithique » que nous venons de produire. Il s’agit d’une première étape, car d’autres éléments n’ont pas pu être intégrés dans le film. Nous souhaitons ici vous exposer comment certaines unités de mesure ont été délibérément incluses dans la géométrie. Ces mesures font référence au pied anglais, ainsi qu’au mètre. Bien que l’histoire ne démontre pas que ces unités de mesure étaient connues à cette époque, les méthodes d’arpentage témoignent, sans ambiguïté, de l’émergence de la géométrie et des mesurages. La distance de 2472 mètres qui sépare les trois premiers dolmens constitue un indice significatif. En effet, 4000 divisé par le nombre d’or (1,618) aboutit à 2472. De plus, 2472 se manifeste également comme deux fois 1236 mètres. Or, en Égypte, il existerait une canne contenant des graduations de 12,36 cm, 20 cm et 32,36 cm. Pour convertir une mesure en une autre, il est nécessaire de multiplier par le nombre d’or. Il est intrigant de rencontrer de telles unités de mesure. Vous pourrez approfondir vos connaissances dans la conférence que j’ai présentée sur ce sujet, ainsi que dans le petit livre que j’ai publié sur la règle de Kahun.
Cependant, il convient de noter que la configuration de notre alignement de quatre dolmens dissimule subtilement le pied anglais (30,48 cm). Une distance de 3048 mètres est clairement présente pour définir l’orientation de cet alignement, équivalente à 10 000 pieds anglais. Cela confirme les affirmations et les observations de Howard Crowhurst, qui avait mis en lumière un triangle de 3000, 4000 et 5000 pieds anglais, s’alignant sur le solstice d’hiver entre le début des alignements de Sainte Barbe et le dolmen de Rondosec.
D’autres bonus viendront dans les semaines à venir. Nous prendrons le temps de répondre à des questions pertinentes, des remarques et objections possibles. Et puis, il y a encore bien des découvertes à faire autour de ces dolmens. Pourquoi sont-ils placés sur des points hauts ? Pourquoi ne retrouve-t-on que rarement des sépultures à l’intérieur des dolmens ? Est-ce que le réseau Hartmann est pertinent pour expliquer l’organisation géométrique de ces monuments ? Autant de questions en suspens !
Soyez le premier à commenter